• Black’s Law Dictionary (le dictionnaire juridique le plus utilisé en droit anglo-américain), mais je ne peux pas en reproduire textuellement les définitions exactes, car elles sont sous copyright.
    Par contre, je peux t’en résumer fidèlement le sens juridique et t’expliquer les nuances historiques ou les usages.

    Sur le mot “Citizen” (Citoyen)

    Selon le Black’s Law Dictionary (notamment les éditions 4e à 11e) :

    Un citizen est une personne née ou naturalisée dans un État ou un pays, qui en est un membre reconnu et soumise à sa juridiction et à ses devoirs d’allégeance, en échange du droit à la protection et à la participation à la vie civile et politique (vote, fonctions publiques, etc.).

    En clair :

    Le citoyen est un membre du corps politique, ayant des droits civiques et politiques.

    Il est soumis à la juridiction de l’État dont il dépend.

    Il doit allégeance à cet État, ce qui implique obéissance à ses lois.

    Historiquement, dans le droit américain, on distingue :

    Le “State citizen” (citoyen d’un État membre),

    Du “U.S. citizen” (citoyen fédéral des États-Unis).

    Cette distinction est importante pour les partisans du constitutionalism ou du sovereign citizenship, car certains soutiennent que la citoyenneté fédérale (U.S. citizen) a été imposée après le 14e amendement (1868) et qu’elle limite les droits originels du citoyen des États.

    Le mot “truqué” ou manipulé ?

    Tu fais probablement allusion à une interprétation critique répandue dans certains milieux juridiques indépendants (common law, souverainisme, droit naturel, etc.).
    Voici ce qu’ils avancent :

    Le mot citoyen (citizen) aurait été redéfini après la guerre de Sécession (1865), notamment avec le 14e amendement aux États-Unis.

    Avant, la citoyenneté était attachée à l’État (ex. Virginie, Massachusetts).

    Après, le gouvernement fédéral a créé une citoyenneté fédérale, soumise à Washington D.C., donc à une juridiction commerciale (U.S. Corporation).

    Certains affirment que ce changement a “corporatisé” les individus :

    Le mot “citizen” désignerait non plus un homme libre sous la loi naturelle, mais une personne juridique (une entité légale, sous contrat avec l’État).

    Dans cette optique, le terme “citizen” serait devenu un piège linguistique :
    en s’identifiant comme tel, on consent implicitement à être gouverné par la juridiction étatique ou fédérale.
    Black’s Law Dictionary (le dictionnaire juridique le plus utilisé en droit anglo-américain), mais je ne peux pas en reproduire textuellement les définitions exactes, car elles sont sous copyright. Par contre, je peux t’en résumer fidèlement le sens juridique et t’expliquer les nuances historiques ou les usages. 📘 Sur le mot “Citizen” (Citoyen) Selon le Black’s Law Dictionary (notamment les éditions 4e à 11e) : Un citizen est une personne née ou naturalisée dans un État ou un pays, qui en est un membre reconnu et soumise à sa juridiction et à ses devoirs d’allégeance, en échange du droit à la protection et à la participation à la vie civile et politique (vote, fonctions publiques, etc.). En clair : Le citoyen est un membre du corps politique, ayant des droits civiques et politiques. Il est soumis à la juridiction de l’État dont il dépend. Il doit allégeance à cet État, ce qui implique obéissance à ses lois. Historiquement, dans le droit américain, on distingue : Le “State citizen” (citoyen d’un État membre), Du “U.S. citizen” (citoyen fédéral des États-Unis). Cette distinction est importante pour les partisans du constitutionalism ou du sovereign citizenship, car certains soutiennent que la citoyenneté fédérale (U.S. citizen) a été imposée après le 14e amendement (1868) et qu’elle limite les droits originels du citoyen des États. ⚖️ Le mot “truqué” ou manipulé ? Tu fais probablement allusion à une interprétation critique répandue dans certains milieux juridiques indépendants (common law, souverainisme, droit naturel, etc.). Voici ce qu’ils avancent : Le mot citoyen (citizen) aurait été redéfini après la guerre de Sécession (1865), notamment avec le 14e amendement aux États-Unis. Avant, la citoyenneté était attachée à l’État (ex. Virginie, Massachusetts). Après, le gouvernement fédéral a créé une citoyenneté fédérale, soumise à Washington D.C., donc à une juridiction commerciale (U.S. Corporation). Certains affirment que ce changement a “corporatisé” les individus : Le mot “citizen” désignerait non plus un homme libre sous la loi naturelle, mais une personne juridique (une entité légale, sous contrat avec l’État). Dans cette optique, le terme “citizen” serait devenu un piège linguistique : en s’identifiant comme tel, on consent implicitement à être gouverné par la juridiction étatique ou fédérale.
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  • Déclaration d’Indépendance des États-Unis d’Amérique (4 juillet 1776)
    Lorsqu’une longue suite d’abus et d’usurpations, poursuivant invariablement le même but, marque le dessein de les soumettre à un despotisme absolu, il est non pas de leur droit, mais de leur devoir de renverser un tel gouvernement et de pourvoir à de nouvelles garanties pour leur sécurité future.
    🇺🇸 Déclaration d’Indépendance des États-Unis d’Amérique (4 juillet 1776) Lorsqu’une longue suite d’abus et d’usurpations, poursuivant invariablement le même but, marque le dessein de les soumettre à un despotisme absolu, il est non pas de leur droit, mais de leur devoir de renverser un tel gouvernement et de pourvoir à de nouvelles garanties pour leur sécurité future.
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  • Le 25 Octobre à Radio Québec Stephane Bureau à animé l'émission sur le SUJET NOUS SOMMES LE LOCATAIRE DE NOTRE PERSONNE PHYSIQUE le Locateur C'EST LE GOUVERNEMENT de l'ETAT NATIONAL DU QUEBEC loi RLRQ 2000 chapitre E-20.2.

    On dirait bien que Stéphane Bureau est au courant de LA FRAUDE....

    L'État n'a autorité que sur les PERSONNES....pas les êtres humains(homme,femme)

    La SEULE place où le terme "personne" est défini, en droit canadien, c'est au Code Criminel, section "interprétation", sous "quiconque"...
    Và lire ça et tu me diras si tu "es" une personne.
    👉Le 25 Octobre à Radio Québec Stephane Bureau à animé l'émission sur le SUJET NOUS SOMMES LE LOCATAIRE DE NOTRE PERSONNE PHYSIQUE le Locateur C'EST LE GOUVERNEMENT de l'ETAT NATIONAL DU QUEBEC loi RLRQ 2000 chapitre E-20.2. On dirait bien que Stéphane Bureau est au courant de LA FRAUDE.... 👉L'État n'a autorité que sur les PERSONNES....pas les êtres humains(homme,femme) 👉La SEULE place où le terme "personne" est défini, en droit canadien, c'est au Code Criminel, section "interprétation", sous "quiconque"... Và lire ça et tu me diras si tu "es" une personne.🤩
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  • Kung-fu saisonnier
    Une année est un cycle complet (Taiji) de deux saisons de yin et de deux saisons de yang. Les quatre saisons sont décrites comme Yinyin, Yinyang, Yangyang et Yangyin. Chaque saison peut être subdivisée davantage en déclinant « entrant » et en s'épilant « sortant ». "
    Tout est dans un état de changement constant. Impermanence. Rien n'est jamais vraiment créé ou détruit (les deux cycles de Wuxing), tout se transforme simplement d'un état à un autre. « Suivre le flux » c'est être proactif pour changer. Soit on s'adapte aux conditions montantes et chutes, soit on est forcés par le changement de faire face et de s'opposer aux conditions montantes et chutes.
    Les anciens vivaient dans une société agricole. Plantation, entretien, récolte et stockage. Tout est fait au bon moment au bon endroit. "Comme à l'intérieur, donc sans. " Chaque personne composant toute l'humanité est un univers microcosmique, vivant dans l'univers macrocosmique de tous. Nous sommes interconnectés et interdépendants. Soi et l'autre ne font qu'un.
    C'est pour nous harmoniser et équilibrer avec Tao, la Grande Voie
    Kung-fu saisonnier Une année est un cycle complet (Taiji) de deux saisons de yin et de deux saisons de yang. Les quatre saisons sont décrites comme Yinyin, Yinyang, Yangyang et Yangyin. Chaque saison peut être subdivisée davantage en déclinant « entrant » et en s'épilant « sortant ». " Tout est dans un état de changement constant. Impermanence. Rien n'est jamais vraiment créé ou détruit (les deux cycles de Wuxing), tout se transforme simplement d'un état à un autre. « Suivre le flux » c'est être proactif pour changer. Soit on s'adapte aux conditions montantes et chutes, soit on est forcés par le changement de faire face et de s'opposer aux conditions montantes et chutes. Les anciens vivaient dans une société agricole. Plantation, entretien, récolte et stockage. Tout est fait au bon moment au bon endroit. "Comme à l'intérieur, donc sans. " Chaque personne composant toute l'humanité est un univers microcosmique, vivant dans l'univers macrocosmique de tous. Nous sommes interconnectés et interdépendants. Soi et l'autre ne font qu'un. C'est pour nous harmoniser et équilibrer avec Tao, la Grande Voie
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  • Institut NEOQUEBECInstitut NEOQUEBEC 3 806 abonnés3 806 abonnés 6 j •
    Il y a 6 jours
    LE COMMANDANT PATRICE VILCEUS QUITTE LE SPVM EN Y DÉNONCANT LE RACISME PERMANENT

    Dans un article paru dans La Presse en cet après-midi, l'on apprend le départ de Patrice Vilceus du Service de Police de la Ville de Montréal -- Montréal City Police Department.
    Après 30 ans dans la police montréalaise, cet officier de police, neoquébécois d'origine haïtienne, l'un des plus hauts-gradés noirs au sein de l'institution policière haïtienne, a décidé de "jeter l'éponge", lassé des frustrations et autres combats en interne pour faire changer les choses, à l'instar de " ... ces gestionnaires du surplace qui banalisent la pensée critique ne sont pas nombreux, mais ils occupent des positions stratégiques, leur capacité de nuisance est donc grande." dit l'ex-commandant. Et d'ajouter : "Comment servir toutes les populations, si certaines à l’interne ne sont pas écoutées, respectées et sont au contraire discréditées ? "
    En 2020, dans la foulée du meurtre de George Floyd aux États-Unis, M. Vilcéus avait déjà dénoncé le « racisme et le profilage racial » au sein du SPVM."

    Avec le départ d'une figure comme celle-là, une question se pose aujourd'hui avec encore plus d'acuité : Fady Dagher, EMBA, le chef de police actuel du SPVM - que Patrice Vilceus "remercie pour son apport" - peut-il, va-t-il réussir sa mission de transformer la culture du racisme au sein de l'organisation dont il a la charge ? Ou cela va-til rendre les choses encore plus difficiles ?
    Institut NEOQUEBECInstitut NEOQUEBEC 3 806 abonnés3 806 abonnés 6 j • Il y a 6 jours LE COMMANDANT PATRICE VILCEUS QUITTE LE SPVM EN Y DÉNONCANT LE RACISME PERMANENT Dans un article paru dans La Presse en cet après-midi, l'on apprend le départ de Patrice Vilceus du Service de Police de la Ville de Montréal -- Montréal City Police Department. Après 30 ans dans la police montréalaise, cet officier de police, neoquébécois d'origine haïtienne, l'un des plus hauts-gradés noirs au sein de l'institution policière haïtienne, a décidé de "jeter l'éponge", lassé des frustrations et autres combats en interne pour faire changer les choses, à l'instar de " ... ces gestionnaires du surplace qui banalisent la pensée critique ne sont pas nombreux, mais ils occupent des positions stratégiques, leur capacité de nuisance est donc grande." dit l'ex-commandant. Et d'ajouter : "Comment servir toutes les populations, si certaines à l’interne ne sont pas écoutées, respectées et sont au contraire discréditées ? " En 2020, dans la foulée du meurtre de George Floyd aux États-Unis, M. Vilcéus avait déjà dénoncé le « racisme et le profilage racial » au sein du SPVM." Avec le départ d'une figure comme celle-là, une question se pose aujourd'hui avec encore plus d'acuité : Fady Dagher, EMBA, le chef de police actuel du SPVM - que Patrice Vilceus "remercie pour son apport" - peut-il, va-t-il réussir sa mission de transformer la culture du racisme au sein de l'organisation dont il a la charge ? Ou cela va-til rendre les choses encore plus difficiles ?
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  • L’État dans le droit public : Une entité reconnue à l’international

    L’État est défini comme une organisation juridique et politique, reconnue au niveau international, regroupant des populations vivant sur un territoire déterminé. C’est cette structure qui confère à une nation sa légitimité et son autorité sur le plan mondial.

    Pour en savoir plus sur ce concept fondamental, consultez le Dictionnaire Juridique.
    [Lien vers l'article]
    https://www.journaldunet.fr/business/dictionnaire-economique-et-financier/1198919-etat-definition-traduction/

    #État #DroitPublic #OrganisationPolitique #Souveraineté
    L’État dans le droit public : Une entité reconnue à l’international L’État est défini comme une organisation juridique et politique, reconnue au niveau international, regroupant des populations vivant sur un territoire déterminé. C’est cette structure qui confère à une nation sa légitimité et son autorité sur le plan mondial. 🌍 Pour en savoir plus sur ce concept fondamental, consultez le Dictionnaire Juridique. 👉 [Lien vers l'article] https://www.journaldunet.fr/business/dictionnaire-economique-et-financier/1198919-etat-definition-traduction/ #État #DroitPublic #OrganisationPolitique #Souveraineté
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  • L’État dans le droit public : Un acteur international

    L’État, dans le droit public, est bien plus qu'une simple organisation. Il représente une entité juridique et politique reconnue à l’échelle internationale, constituée par des populations vivant sur un territoire déterminé. C’est cette structure qui permet à une nation de s'affirmer sur la scène mondiale, de défendre ses droits et d’exercer sa souveraineté.

    Découvrez plus sur ce concept dans le droit public ici :
    [Lien vers l'article]
    https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/etat.php

    #État #DroitPublic #Souveraineté #OrganisationPolitique

    L’État dans le droit public : Un acteur international L’État, dans le droit public, est bien plus qu'une simple organisation. Il représente une entité juridique et politique reconnue à l’échelle internationale, constituée par des populations vivant sur un territoire déterminé. C’est cette structure qui permet à une nation de s'affirmer sur la scène mondiale, de défendre ses droits et d’exercer sa souveraineté. Découvrez plus sur ce concept dans le droit public ici : 👉 [Lien vers l'article] https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/etat.php #État #DroitPublic #Souveraineté #OrganisationPolitique
    WWW.DICTIONNAIRE-JURIDIQUE.COM
    État - Définition - Dictionnaire juridique
    Définition de État : La notion d'Etat qui appartient au vocabulaire du droit public pour désigner une unité souveraine formée par des populations vivant sur un territoire défini et reconnu comme une organisation juridique et politique de la société internationale. Il s'agit là d'une notion qui reste étrangère à ce dictionnaire consacré au seul droit des perssonnes...
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  • L’État, une personne morale souveraine

    L'État, avec une majuscule, désigne bien plus qu'un simple mot : c'est l'entité juridique qui représente une nation ou un peuple. En tant que personne morale, il incarne la souveraineté, exerçant un pouvoir suprême à l'intérieur comme à l'extérieur de ses frontières. Il agit pour le compte de la collectivité, veillant à ses intérêts sur les plans national et international.

    Pour en savoir plus sur la définition de l'État et son rôle, consultez cet article :
    Lien vers l'article
    http://www.toupie.org/Dictionnaire/Etat.htm

    #État #Souveraineté #DroitPublic #Nation
    L’État, une personne morale souveraine L'État, avec une majuscule, désigne bien plus qu'un simple mot : c'est l'entité juridique qui représente une nation ou un peuple. En tant que personne morale, il incarne la souveraineté, exerçant un pouvoir suprême à l'intérieur comme à l'extérieur de ses frontières. Il agit pour le compte de la collectivité, veillant à ses intérêts sur les plans national et international. Pour en savoir plus sur la définition de l'État et son rôle, consultez cet article : 👉 Lien vers l'article http://www.toupie.org/Dictionnaire/Etat.htm #État #Souveraineté #DroitPublic #Nation
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  • D'HIER ...

    Selon le Tribunal du Grand Jury du Peuple du Canada qui a eu lieu en 2015, en 1968, le Québec et le Barreau du Québec ont orchestré un coup d'état et ils ont violé l'Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 (British North America Act 1867). Se faisant, ils ont aboli le conseil législatif qui servait de rempart contre la corruption et les abus de pouvoir des politiciens qui sont censés favoriser les intérêts du peuple et non les leurs. Pourtant, dans l’affaire de la Délégation inter-parlementaire, Attorney General of Nova Scotia v. Attorney General of Canada ([1951] R.C.S. 31.) le juge en chef Rinfret stipule noir sur blanc (à la p. 34) :

    [TRADUCTION] « La Constitution du Canada n’appar­tient ni au Parlement, ni aux législatures; elle appartient au pays. C’est en elle que les citoyens de ce pays trouveront la protection des droits auxquels ils peuvent prétendre. Le fait que le Parlement ne peut légiférer que sur les sujets que lui assigne l’article 91, et que chaque province peut légiférer exclusivement sur les matières que lui assigne l’article 92, fait partie de cette protection. »

    (Jugements de la Cour suprême : Résolution pour modifier la Constitution. [1981] 1 RCS 753. 28 septembre 1981).


    La Loi sur l’Assemblée nationale aurait expulsé le Québec de la Fédération canadienne en supprimant tous les articles de l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique de 1867, dont les articles fondamentaux suivants : 5, 9, 51(1), 71, 80, 90, 91 (3) et (29), 92 (1) et (2), 93, 96. Dans une entrevue octroyée à Radio-Canada, l’avocat Michel Lebrun a lui même déclaré que les tribunaux du Québec sont illégaux. « On en a appelé parce qu’on croit que la juge, qui est une juge de la Cour du Québec, n’est pas constitutionnellement fondée. Le Parlement du Québec n’est pas la législature. Seule la législature du Québec peut créer des cours et donc faire des lois dans la province ». Il s’appuie sur le fait que le Québec a aboli son Sénat en 1968, allant contre la Constitution canadienne, qui prévoit une législature du Québec avec deux chambres.

    Selon Joseph Yvon Benoit, le Québec est un pays depuis 1968 par l’abolition de l’Assemblée législative, du Conseil législatif, et des pouvoirs et de l’autorité du Lieutenant gouverneur du Québec sans loi pour la création de l’Assemblée nationale unicamérale du Québec. En effet, en 1968 le gouvernement de Jean-Jacques Bertrand fait adopter la Loi concernant le Conseil législatif qui abolissait le Conseil législatif et qui donnait à l'Assemblée législative le nouveau nom d'Assemblée nationale. Le 12 décembre 1968, le Conseil législatif adopta lui-même le projet de loi 90, et ce, sans vote enregistré ou appel nominal. L'abolition du Conseil législatif prit effet le 31 décembre 1968. Le Conseil législatif du Québec était la chambre haute du Parlement du Québec. Il a existé de 1867 à 1968 et ne fut jamais remplacé. (Voir: Le Québec isolé - 5 Nov 1981) La nuit des longs couteaux

    https://www.societyrpc.ca/historique
    D'HIER ... Selon le Tribunal du Grand Jury du Peuple du Canada qui a eu lieu en 2015, en 1968, le Québec et le Barreau du Québec ont orchestré un coup d'état et ils ont violé l'Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 (British North America Act 1867). Se faisant, ils ont aboli le conseil législatif qui servait de rempart contre la corruption et les abus de pouvoir des politiciens qui sont censés favoriser les intérêts du peuple et non les leurs. Pourtant, dans l’affaire de la Délégation inter-parlementaire, Attorney General of Nova Scotia v. Attorney General of Canada ([1951] R.C.S. 31.) le juge en chef Rinfret stipule noir sur blanc (à la p. 34) : [TRADUCTION] « La Constitution du Canada n’appar­tient ni au Parlement, ni aux législatures; elle appartient au pays. C’est en elle que les citoyens de ce pays trouveront la protection des droits auxquels ils peuvent prétendre. Le fait que le Parlement ne peut légiférer que sur les sujets que lui assigne l’article 91, et que chaque province peut légiférer exclusivement sur les matières que lui assigne l’article 92, fait partie de cette protection. » (Jugements de la Cour suprême : Résolution pour modifier la Constitution. [1981] 1 RCS 753. 28 septembre 1981). La Loi sur l’Assemblée nationale aurait expulsé le Québec de la Fédération canadienne en supprimant tous les articles de l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique de 1867, dont les articles fondamentaux suivants : 5, 9, 51(1), 71, 80, 90, 91 (3) et (29), 92 (1) et (2), 93, 96. Dans une entrevue octroyée à Radio-Canada, l’avocat Michel Lebrun a lui même déclaré que les tribunaux du Québec sont illégaux. « On en a appelé parce qu’on croit que la juge, qui est une juge de la Cour du Québec, n’est pas constitutionnellement fondée. Le Parlement du Québec n’est pas la législature. Seule la législature du Québec peut créer des cours et donc faire des lois dans la province ». Il s’appuie sur le fait que le Québec a aboli son Sénat en 1968, allant contre la Constitution canadienne, qui prévoit une législature du Québec avec deux chambres. Selon Joseph Yvon Benoit, le Québec est un pays depuis 1968 par l’abolition de l’Assemblée législative, du Conseil législatif, et des pouvoirs et de l’autorité du Lieutenant gouverneur du Québec sans loi pour la création de l’Assemblée nationale unicamérale du Québec. En effet, en 1968 le gouvernement de Jean-Jacques Bertrand fait adopter la Loi concernant le Conseil législatif qui abolissait le Conseil législatif et qui donnait à l'Assemblée législative le nouveau nom d'Assemblée nationale. Le 12 décembre 1968, le Conseil législatif adopta lui-même le projet de loi 90, et ce, sans vote enregistré ou appel nominal. L'abolition du Conseil législatif prit effet le 31 décembre 1968. Le Conseil législatif du Québec était la chambre haute du Parlement du Québec. Il a existé de 1867 à 1968 et ne fut jamais remplacé. (Voir: Le Québec isolé - 5 Nov 1981) La nuit des longs couteaux https://www.societyrpc.ca/historique
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