Durant la pandémie, un grand nombre de personnes ont fait le choix de refuser le vaccin obligatoire. Ce choix n’a pas été fait en toute légèreté ou simplement par opposition aux consignes, mais avec une conviction profonde et intime. Ces personnes ont agi en toute honnêteté avec elles-mêmes, parfois au prix de leur emploi, de leur sécurité financière et de leurs relations avec les autres. Elles ont agi en cohérence avec leurs valeurs.
Aujourd’hui, plusieurs de ces personnes témoignent d’une paix intérieure. Elles savent qu’elles n’ont pas trahi leurs principes, même si ce choix les a exposées à une stigmatisation sans précédent. Pendant deux ans, les personnes non vaccinées ont été pointées du doigt et accusées d’être responsables de la pandémie (débordements dans les hôpitaux, retards dans les blocs opératoires, décès liés à la COVID-19). Ces accusations ont été lourdes à porter, non seulement sur le plan social, mais aussi sur le plan de la dignité personnelle.
Car malgré la force de nos convictions, il subsiste une blessure collective : nous avons été les boucs émissaires d’une crise mondiale, alors que la responsabilité réelle de la gestion de la pandémie relevait de décisions politiques.
C’est pourquoi le procès à venir prend une valeur fondamentale : il vise à rétablir l’honneur d’un groupe de citoyens injustement stigmatisés. Le 27 janvier prochain, durant toute la journée, la recevabilité de cette cause sera débattue au Palais de Justice de Montréal.
Si le tribunal reconnaît que les accusations portées contre les personnes non vaccinées méritent un procès, ce jugement aura une portée symbolique immense. Il viendra confirmer que notre cause est juste, et que la dignité ne peut être sacrifiée au nom de l'arbitraire gouvernemental.
Ainsi, au-delà de la paix intérieure déjà acquise par celles et ceux qui ont résisté aux pressions, le procès représente l’occasion de transformer cette paix intime en une réhabilitation publique.
Aujourd’hui, plusieurs de ces personnes témoignent d’une paix intérieure. Elles savent qu’elles n’ont pas trahi leurs principes, même si ce choix les a exposées à une stigmatisation sans précédent. Pendant deux ans, les personnes non vaccinées ont été pointées du doigt et accusées d’être responsables de la pandémie (débordements dans les hôpitaux, retards dans les blocs opératoires, décès liés à la COVID-19). Ces accusations ont été lourdes à porter, non seulement sur le plan social, mais aussi sur le plan de la dignité personnelle.
Car malgré la force de nos convictions, il subsiste une blessure collective : nous avons été les boucs émissaires d’une crise mondiale, alors que la responsabilité réelle de la gestion de la pandémie relevait de décisions politiques.
C’est pourquoi le procès à venir prend une valeur fondamentale : il vise à rétablir l’honneur d’un groupe de citoyens injustement stigmatisés. Le 27 janvier prochain, durant toute la journée, la recevabilité de cette cause sera débattue au Palais de Justice de Montréal.
Si le tribunal reconnaît que les accusations portées contre les personnes non vaccinées méritent un procès, ce jugement aura une portée symbolique immense. Il viendra confirmer que notre cause est juste, et que la dignité ne peut être sacrifiée au nom de l'arbitraire gouvernemental.
Ainsi, au-delà de la paix intérieure déjà acquise par celles et ceux qui ont résisté aux pressions, le procès représente l’occasion de transformer cette paix intime en une réhabilitation publique.
Durant la pandémie, un grand nombre de personnes ont fait le choix de refuser le vaccin obligatoire. Ce choix n’a pas été fait en toute légèreté ou simplement par opposition aux consignes, mais avec une conviction profonde et intime. Ces personnes ont agi en toute honnêteté avec elles-mêmes, parfois au prix de leur emploi, de leur sécurité financière et de leurs relations avec les autres. Elles ont agi en cohérence avec leurs valeurs.
Aujourd’hui, plusieurs de ces personnes témoignent d’une paix intérieure. Elles savent qu’elles n’ont pas trahi leurs principes, même si ce choix les a exposées à une stigmatisation sans précédent. Pendant deux ans, les personnes non vaccinées ont été pointées du doigt et accusées d’être responsables de la pandémie (débordements dans les hôpitaux, retards dans les blocs opératoires, décès liés à la COVID-19). Ces accusations ont été lourdes à porter, non seulement sur le plan social, mais aussi sur le plan de la dignité personnelle.
Car malgré la force de nos convictions, il subsiste une blessure collective : nous avons été les boucs émissaires d’une crise mondiale, alors que la responsabilité réelle de la gestion de la pandémie relevait de décisions politiques.
C’est pourquoi le procès à venir prend une valeur fondamentale : il vise à rétablir l’honneur d’un groupe de citoyens injustement stigmatisés. Le 27 janvier prochain, durant toute la journée, la recevabilité de cette cause sera débattue au Palais de Justice de Montréal.
Si le tribunal reconnaît que les accusations portées contre les personnes non vaccinées méritent un procès, ce jugement aura une portée symbolique immense. Il viendra confirmer que notre cause est juste, et que la dignité ne peut être sacrifiée au nom de l'arbitraire gouvernemental.
Ainsi, au-delà de la paix intérieure déjà acquise par celles et ceux qui ont résisté aux pressions, le procès représente l’occasion de transformer cette paix intime en une réhabilitation publique.